Je me culpabilisais, sans vraiment comprendre,
Je cherchais les erreurs qui m’ont amené à me pendre,
J’essayais de l’oublier, mais en vain, elle réapparaissait,
Vivant à jamais avec ce fantôme qui m’obsédait.
Les gens regardaient la scène avec mélancolie,
Cet homme rongé à jamais par la folie,
Ils ne comprenaient pas ce qui m’arriver,
D’avancer à reculons, sans rien y changer.
Je me réveillai éssouflé et totalement perdu,
Allongé sur le sol, je n'en pouvais plus,
Je me sentais totalement vidé, épuisé,
Cette ombre, au dessus, qui m'épiait.
Le regard pointant vers cet horizon,
Ma tête raisonnait comme un caisson,
J'essayai tant bien que mal de me relever,
prenant mon courage, contre l'adversité.
Et je vis ce que ma tête refusait de croire,
Et ce haut le coeur, me retirant l'espoir,
Mon corps baignait dans mon propre sang,
Cette blessure s'était réouverte, se déversant.
Je me regardais rapidement dans un miroir,
Et l'horreur vira à la terreur dans mon désespoir,
Une partie de mon corps était d'un rouge inquiétant,
Je perdais l'essence de la vie, me révoltant.
On a beau se sentir seul, abandonné, et incomplet,
Des gens nous aiments, et s'inquiètent pour notre santé...
Je vous souhaite a tous une bonne nuit...bisousss a demain